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Jodorowsky le sage

Publié le par Nouvelles du silence


 

Nous faisons du tort à autrui en l’obligeant à recevoir ce qu’il ne demande pas.

 

Si tu veux être heureux, oublie ce qu’il est impossible de changer.

 

Le bonheur consiste à rencontrer quelqu’un en qui avoir confiance. La meilleure porte est celle que tu peux laisser ouverte.

 

Le plus beau des cadeaux, c’est un jour de plus.

 

Cette douleur n’est pas la tienne, c’est celle de l’enfant qui règne dans ta mémoire.

 

Lorsque tu cesses d’aimer, ta mémoire efface les parties douces, faisant un passé avec les seules parties amères.

 

Oublie ce que tu donnes. Souviens-toi de ce que tu as reçu.

 

Respecte ce qui est méprisé : l’eau sale peut éteindre un incendie.

 


Pendant que le philosophe cherche le pont invisible, le poète traverse le fleuve à la nage.

 


Quels que soient les parents que tu as eus, c’est l’univers qui t’a créé.

 


La manière de donner a plus d’importance que ce que l’on donne.

 


Si ce que tu fais te fatigue, c’est que tu ne désires pas le faire. Ce que tu aimes ne te fatigue jamais.

 


Le talent ne s’invente pas, on naît avec : si on n’a pas de seins, on n’essaie pas d’allaiter.

 


La vie n’a pas de solution parce qu’elle n’est pas un problème : elle est la réponse à tous les problèmes.

 


Tu seras fort lorsque tu apprendras à ne pas faire de mal.

 


La jalousie, c’est quand tu as peur que quelqu’un donne à l’être que tu aimes ce que tu ne peux lui donner.

 


Tu t’es libéré de ta compagne ? Si tu regrettes le détachement, tu es encore avec elle.

 


Nous nous fâchons toujours pour un autre motif que celui que nous croyons. Notre colère cache une colère plus grande.

 


Le monde n’est pas violent, il y a de la violence en lui. Entre « le monde est » et « dans le monde il y a » existe un abîme.

 


Le chemin le plus court entre deux points n’est pas la ligne droite ni celui qui offre le moins de résistance, c’est le plus beau.

 

Je ne sais pas ce que je cherche, mais je sais que ce que je cherche me cherche.

 


La vie est un fleuve, tu es son poisson. Le poisson ne sait où il va, le fleuve si.

 


Cette porte que tu crois fermée pour toujours souffre de ce que tu n’essaies jamais de l’ouvrir.

 

Si tu n’aimes pas le tout, comment peux-tu aimer quelque chose ?

 

Tu ne peux changer le monde, mais tu peux l’enrichir.

 

Même s’il te manque un millimètre pour arriver au centre, tu n’es qu’à mi-chemin.

 


Agressif ? Si tu peux défaire le nœud avec tes doigts, à quoi bon utiliser tes dents ?

 


Tout est une recherche qui ne peut s’achever que lorsqu’on se transforme en ce que l’on cherche.
 

 

                                                     (365 tweets de sagesse)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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