Saint-Ex, ultima verba
« Si je suis descendu,
je ne regretterai absolument rien.
La termitière future m’épouvante.
Et je hais leur vertu de robots.
Moi, j’étais fait pour être jardinier. »
(dernières lignes d’une lettre adressée
à Pierre Dalloz, écrite la veille de sa mort,
le 30 juillet 1944.)